Une récente étude publiée dans le JAMA reposant sur les données issues de la MSBase [1] révèle l’intérêt de traiter tôt et fort les patients, afin de prévenir le risque de passage vers une forme secondairement progressive (SP).
Méthode
Les dossiers de 44 217 patients issus de 68 centres dans 21 pays ont été analysés. Alors que
9 452 d’entre eux étaient éligibles, seulement 1 555 ont finalement été retenus pour l’analyse après application d’un score de propension. Les données ont alors été comparées à celles des patients suivis et non traités en Écosse. Afin de minimiser les biais, les patients sous interféron (INF) et acétate de glatiramère (GA) ont été inclus et suivis sur la période avant la sortie du natalizumab (NTZ), du fingolimod (FTY) et de l’alemtuzumab (ALZ). Une durée minimale de 6 mois sous traitement a été requise et les patients ont été suivis au moins 4 ans.
L’objectif principal de l’étude était d’estimer le risque de conversion en forme secondairement progressive (SP). Celle-ci a été définie comme telle pour une augmentation confirmée sur deux évaluations faites à plus de 3 mois d’intervalle de :
• 1 point sur l’EDSS, si l’EDSS ≤ 5,
• 0,5 point sur l’EDSS, si l’EDSS > 5,5.
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